Sommeil et Difficultés d'endormissement

Difficultés d’endormissement ? Nuit agitée ? Réveils nocturnes ou trop matinaux ? Impossible de se rendormir? Retrouvez enfin un sommeil apaisé !

Sommeil

 

Tomber rapidement dans les bras de Morphée, quel bonheur après une longue journée !

Cependant, la promesse d’une nuit reposante peut vite tourner au cauchemar... L’énumération des désagréments venant ponctuer les nuits agitées devient un rituel.

23h, les difficultés d’endormissement font leur entrée. Après quelques changements de côté, l’énervement commence à se faire ressentir. À minuit et demi, le sommeil nous emporte. Mais pas pour très longtemps. À 2h du matin, réveil en panique. Passées les 45 minutes d’agitation, et après un coussin retourné au moins 5 ou 6 fois, on se rendort enfin. À 4h20, réveil matinal précoce. Assis sur le lit, le dos contre le coussin et la lumière souvent allumée, le sommeil devenu si fragile est désorganisé et n’assure plus sa fonction principale : le repos. À 6h, le réveil sonne. Fatigué, épuisé, une nouvelle journée est à affronter. Il n’y alors qu’une seule certitude : l’angoisse de passer une mauvaise nuit qui ressemble à la précédente s’amplifie et le sommeil ne devient plus qu’un lointain souvenir.

Il n’est plus temps de compter les moutons pour vous endormir... Agissez ! Quand l’horloge biologique se détraque, il faut la resynchroniser de toute urgence.

Par ailleurs, il est également connu que les voyages impliquant une traversée de plus de 3 fuseaux horaires peuvent engendrer un décalage et un retard de sommeil. Dans ces cas, les personnes se disent souvent victimes du « jet-lag ».

Le cycle du sommeil Le sommeil se décompose en cycles et chaque nuit correspond à la succession de 4 à 5 cycles. Chaque cycle dure entre 90 et 110 minutes et s’organise en deux grandes phases qui s’alternent :
  • Le sommeil lent

Également appelé sommeil à ondes lentes, il comporte 4 étapes durant lesquelles le sommeil lent devient de plus en plus profond

Pendant la phase de sommeil lent, le cerveau se repose et le corps est au ralenti. L’activité mentale est très faible, les fonctions vitales telles que la fréquence cardiaque et la respiration sont basses. La température corporelle diminue également.

  • Le sommeil paradoxal, aussi appelé REM

C’est durant cette phase que les rêves sont générés. L’activité cérébrale y est très intense. Les muscles des membres supérieurs et inférieurs sont paralysés, à l’exception de ceux contrôlant le mouvement des yeux. Dû à cette particularité, le sommeil paradoxal est également appelé « Rapid Eye Movement » (REM) en anglais, référence aux mouvements rapides des yeux pendant les rêves. Le sommeil paradoxal participe également à la consolidation de la mémoire procédurale, impliquant la motricité et les automatismes, ainsi qu’à celle de la mémoire déclarative qui est reliée aux concepts et aux évènements. Bien que le sommeil paradoxal représente environ 25% du temps de sommeil, sa durée diminue avec l’âge.

Les déréglements du cycle 

L’insomnie n’est pas unique et peut prendre plusieurs formes. Les différents types d’insomnies sont classés selon les différents caractères qu’ils prennent et regroupent notamment : les difficultés d’endormissement, les réveils nocturnes, les réveils précoces et sont accompagnés par des sensations de sommeil non réparateur.

En cas d’insomnie, la qualité du sommeil est altérée. Les différents types d’insomnies sont le plus souvent liés à des facteurs perturbant le déclenchement ou le maintien du sommeil. 

  • Difficultés d’endormissement

Une des causes principales engendrant les difficultés d’endormissement, aussi appelées insomnie d’endormissement, correspond à la désynchronisation de l’horloge biologique interne avec la luminosité naturelle liée rythme circadien (l’alternance jour/nuit). On parle alors de retard de phase ou de troubles de phase de sommeil retardé. En effet, l’entrée dans un état de sommeil peut être retardée de 1 à 2 cycles, et donc de minimum deux heures jusqu’à plus de quatre heures.

L’exposition à la lumière bleue émanant des écrans, mais également l’anxiété, la consommation de boissons contenant de la caféine, la réalisation d’exercice physique le soir ou encore le travail de nuit et les décalages horaires dus aux voyages engendrent les difficultés d’endormissement.

Par conséquent, le couché et le levé interviennent avec un endormissement ayant lieu vers 3 h du matin et un réveil à partir de 10h. Bien qu’il soit impossible pour ces personnes de s’endormir plus tôt, un réveil anticipé, à 6h du matin pour aller travailler par exemple, est bien souvent compliqué et entraîne un sommeil écourté.

  • Réveils nocturnes et matinaux

Lorsque l’endormissement est normal mais que le réveil intervient pendant la nuit ou plus tôt que prévu (réveil précoce) sans qu’il ne soit possible de se rendormir facilement, on parle alors d’insomnie de maintien de sommeil. Il est également possible que les réveils nocturnes se multiplient durant la nuit.

Comme évoqué précédemment le sommeil est un état de baisse de la conscience qui sépare deux périodes d’éveil. Il se décompose en cycles et alterne principalement entre le sommeil lent léger et le sommeil lent profond.

Alors que durant les premiers cycles, le sommeil profond occupe la majorité du temps, la probabilité de se « reconnecter » avec l’extérieur est plus faible. Cependant, au cours de la nuit, le temps passé dans la phase de sommeil profond diminue au profit du sommeil léger qui augmente. Il est alors plus probable que les réveils nocturnes apparaissent en fin de nuit pendant les phases où le sommeil est léger (ou pendant le sommeil paradoxal (REM)), période plus propice à la sortie de l’état de sommeil.

  • Insomnie chronique

L’insomnie chronique est évoquée dans le cas où les difficultés d’endormissement et/ou les réveils nocturnes interviennent plus de 3 fois par semaine depuis au moins 3 mois.

Chez les personnes souffrant d’insomnie chronique, on parle « d’hyper-éveil » caractérisé par une activation importante, voire excessive, et continue du système nerveux central et du système en charge de la réponse au stress (l’axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien)1. Ceci rend alors compliqué le fait de basculer vers un état de sommeil. De plus, lorsque le sommeil est enfin atteint, ce dernier reste dans une phase de sommeil lent léger, plus propice aux réveils nocturnes.

De la même manière, chez ces personnes, l’activité cérébrale des neurones possédant des récepteurs au GABA (acide gamma-aminobutyrique), est diminuée au niveau du cortex. Le GABA étant un neurotransmetteur à l’action inhibitrice sur le système nerveux central, ceci explique également la cause du maintien de l’état d’éveil.

  • Sommeil non réparateur

Les difficultés d’endormissement et les insomnies de maintien de sommeil provoquent la diminution du temps de sommeil. Le sommeil étant alors insuffisant d’une part, et de moins bonne qualité d’autre part, il devient alors non réparateur du fait de la réduction de la proportion des phases de sommeil profond pendant les cycles.

Après une mauvaise nuit, il est fréquent que la fatigue se fasse ressentir. Elle est souvent accompagnée de somnolences diurnes pouvant provoquer des endormissements au cours de la journée. 

Par ailleurs, le sommeil étant un facteur d’une importance essentielle, sa privation ou la baisse de sa qualité sont des paramètres pouvant impacter directement l’apprentissage, la mémorisation et la concentration. Il n’est donc jamais bon de laisser les phénomènes d’insomnie s’installer.

La mélatonine, clé de voute de l'endormissement

La mélatonine est produite par la glande pinéale présente au centre du cerveau, à partir d’un acide aminé : le tryptophane.  Également appelée « hormone du sommeil », la mélatonine est uniquement synthétisée en l’absence de lumière.

Sa production augmente aux alentours de 20h avec la diminution de la luminosité, et atteint son pic vers 3h du matin. Puis, sa concentration dans le sang baisse progressivement durant la journée.

Cependant, une utilisation prolongée des téléphones et tablettes, sources de lumière bleue, peut retarder la synthèse de la mélatonine. Pour faciliter l’endormissement, quelques conseils simples sont à appliquer, comme éviter les écrans avant de se coucher, lire un bon livre, se préparer une tisane et surtout se détendre.

Sommeil perturbé : Quelles solution ?

Le Laboratoire THERASCIENCE a développé une gamme complète pour lutter contre l’insomnie, sans risque d’accoutumance ni de dépendance.

Physiomance Somny Spray

Pour une action immédiate, Physiomance Somny spray, spray buccal facile d’utilisation, permet une action ultra-rapide grâce à l’apport de 1,8 mg de mélatonine pour 2 pulvérisations. L’action de la mélatonine est renforcée par la présence de mélisse, plante aux propriétés calmantes, et des vitamines B6 et B12 qui contribuent au fonctionnement normal du système nerveux ainsi qu’à des fonctions psychologiques normales. Toujours à portée de main sur la table de nuit, Physiomance Somny spray contribue à réduire rapidement le temps d’endormissement et la fatigue. Son action rapide est également particulièrement utile pour combattre les insomnies liées au décalage horaire.

Physiomance Sommeil LP : Une libération rapide et prolongée pour retrouver un sommeil de qualité

Le Laboratoire THERASCIENCE a développé Physiomance Sommeil LP, des comprimés bi-couches  composés d’une partie blanche pour une action rapide et une partie bleue contribuant à la libération prolongée des actifs afin de retrouver un sommeil de qualité et d’aider à réduire la fatigue.

Action rapide

Pour une action rapide, la mélatonine (hormone du sommeil) et le magnésium contenus dans la partie blanche des comprimés sont libérés dès la prise de Physiomance Sommeil LP, afin de réduire rapidement le temps d’endormissement.

Libération prolongée

Le Laboratoire THERASCIENCE utilise la technologie SEPISMART™ SR dans la partie bleue de ses comprimés Physiomance Sommeil LP pour une libération prolongée de l’eschscholtzia (pavot de Californie), des vitamines B6 et B12, ainsi que de l’autre partie du magnésium et de la mélatonine afin d’agir tout au long de la nuit et de limiter les réveils nocturnes et matinaux, tout en participant à réduire la fatigue.

Alors que l’eschscholtzia améliore la qualité du sommeil naturel et favorise une relaxation optimale, le magnésium ainsi que les vitamines B6 et B12 contribuent à réduire la fatigue et participent au fonctionnement normal du système nerveux et des fonctions psychologiques.

Pour une biodisponibilité optimale, les vitamines B6 et B12 sont présentes sous leur forme coenzymée et le magnésium sous forme citrate.

Zoom sur la technologie de libération prolongée SEPISMART™ SR

Associant la gomme d’acacia, qui confère au comprimé une dureté optimale, et la gomme de xanthane, spécialement sélectionnée pour ses propriétés de viscosité, SEPISMART™ SR est une technologie d’origine naturelle, contenant des gommes extraites par des procédés respectueux de l’environnement, sans utilisation de solvants, sans OGM, sans additifs.

Mode d’action

Au contact de l’eau, la technologie SEPISMART ™ SR s’hydrate, gonfle et forme une matrice hydrophile autour du comprimé bleu, permettant ainsi une libération continue et prolongée de la mélatonine et du magnésium.

Ainsi, les deux couches du comprimé Physiomance Sommeil LP présentent une action complémentaire : l’une permet une libération instantanée de mélatonine pour un endormissement rapide, l’autre une libération prolongée et continue au fur et à mesure de la nuit afin de bénéficier des bienfaits des actifs pour éviter les réveils nocturnes.

Fini le stress du coucher, les réveils nocturnes et l’angoisse de ne pas réussir à s’endormir !

Bibliographie

1. Vgontzas AN, Bixler EO, Lin HM, Prolo P, Mastorakos G, Vela-Bueno A, Kales A, Chrousos GP. Chronic insomnia is associated with nyctohemeral activation of the hypothalamic-pituitary-adrenal axis: clinical implications.J Clin Endocrinol Metab 2001 Aug;86(8):3787-94.

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